Les Roberts à la charge!
On dit qu’il ne faut jamais se fier aux apparences, et j’imagine que c’est d’autant plus vrai à Hollywood que n’importe où ailleurs (que voulez-vous: ça ne doit pas être évident de déchiffrer les intentions de quelqu’un quand son visage est figé par le Botox!).
Par exemple, qui aurait pu se douter que, derrière son sourire à un million de dollars, la belle Julia Roberts cache une personnalité des plus mesquines? Bon... j’admets qu’elle n’a pas toujours eu la meilleure des réputations auprès des hommes, mais je ne l’aurais jamais crue capable de manigancer pour voler la vedette à une collègue féminine. Surtout pas quand cette collègue est la sacro-sainte Meryl Streep, à qui je donnerais le bon Dieu sans confession! Ça me trouble d’autant plus que Julia devrait savoir que tenter d’éclipser Meryl, c’est comme essayer de balayer le sable sur une plage, c’est-à-dire impossible! Et maintenant qu’elle s’est mise la grande dame du cinéma à dos, elle risque d’en payer le prix. Quoique... je doute que Meryl Streep s’abaisse à salir la réputation de sa «rivale», car elle est bien au-dessus de ça, ELLE!
Toujours est-il que ce constat au sujet de Julia me confirme que la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre. En effet, comment pourrais-je m’insurger contre les écarts de conduite et l’attitude de diva d’Emma Roberts quand je vois comment sa tante se comporte? Julia souhaite être le mentor de sa nièce pour la ramener dans le droit chemin, mais elle devrait travailler sur ses propres troubles de comportement avant de donner l’exemple. Ainsi, Emma devrait plutôt suivre les conseils que lui donne Jennifer Aniston. Car c’est bien vrai que cette dernière n’attire pas les ennuis. Je dirais même que, si ce n’était de ses déboires amoureux, sa vie serait aussi ennuyante qu’un jour de pluie! Cette platitude serait tout indiquée pour la jeune star qui, entre son arrestation pour violence conjugale et ses virées désastreuses dans les bars, gagnerait à se faire oublier quelque temps. Ah, si Hollywood m’écoutait...
On dit qu’il ne faut jamais se fier aux apparences, et j’imagine que c’est d’autant plus vrai à Hollywood que n’importe où ailleurs (que voulez-vous: ça ne doit pas être évident de déchiffrer les intentions de quelqu’un quand son visage est figé par le Botox!).
Par exemple, qui aurait pu se douter que, derrière son sourire à un million de dollars, la belle Julia Roberts cache une personnalité des plus mesquines? Bon... j’admets qu’elle n’a pas toujours eu la meilleure des réputations auprès des hommes, mais je ne l’aurais jamais crue capable de manigancer pour voler la vedette à une collègue féminine. Surtout pas quand cette collègue est la sacro-sainte Meryl Streep, à qui je donnerais le bon Dieu sans confession! Ça me trouble d’autant plus que Julia devrait savoir que tenter d’éclipser Meryl, c’est comme essayer de balayer le sable sur une plage, c’est-à-dire impossible! Et maintenant qu’elle s’est mise la grande dame du cinéma à dos, elle risque d’en payer le prix. Quoique... je doute que Meryl Streep s’abaisse à salir la réputation de sa «rivale», car elle est bien au-dessus de ça, ELLE!
Toujours est-il que ce constat au sujet de Julia me confirme que la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre. En effet, comment pourrais-je m’insurger contre les écarts de conduite et l’attitude de diva d’Emma Roberts quand je vois comment sa tante se comporte? Julia souhaite être le mentor de sa nièce pour la ramener dans le droit chemin, mais elle devrait travailler sur ses propres troubles de comportement avant de donner l’exemple. Ainsi, Emma devrait plutôt suivre les conseils que lui donne Jennifer Aniston. Car c’est bien vrai que cette dernière n’attire pas les ennuis. Je dirais même que, si ce n’était de ses déboires amoureux, sa vie serait aussi ennuyante qu’un jour de pluie! Cette platitude serait tout indiquée pour la jeune star qui, entre son arrestation pour violence conjugale et ses virées désastreuses dans les bars, gagnerait à se faire oublier quelque temps. Ah, si Hollywood m’écoutait...