
Chères lectrices,
J'ai toujours pensé que Drew Barrymore était une star d'exception. À l'âge tendre où d'autres ne comprennent toujours pas que Ken devrait frencher Barbie, cette enfant vedette s'éclatait au Studio 54 avec les grands du showbiz. Elle a tout fait avant l'heure. Alcolo à 12 ans, toxico à 13, elle a filé en désintox et s'est émancipée de ses parents irresponsables pour débuter sa vie d'adulte... à 15 ans. Vous pensez que Demi Moore a changé le monde en se foutant à poil sur la couverture du Vanity Fair? J'ai des petites nouvelles pour vous. En juillet 1992, la rebelle Drew posait nue dans l'herbe pour le magazine Interview, en compagnie de son petit copain de l'époque. Rien de moins. Aujourd'hui âgée de 38 ans, la belle dégage une sérénité qui fait plaisir à voir dans cet océan de faux-semblants qu'est Hollywood. Et lire, dans mon Star système adoré, que Drew accepte son corps post-grossesse avec grâce et ne doute pas un instant de retrouver du travail en dépit de son petit-mou-de-ventre, ça me réjouit! Éternelle avant-gardiste, la belle serait-elle en train de ramener l'équilibre mental à la mode? Croisons-nous les doigts...
Autre enfant-star chéri des Américains, Macaulay Culkin fait peine à voir par les temps qui courent. Le petit garçon adorable de Home Alone a bel et bien pris le bord! Une descente aux enfers qui a débuté quand le pauvre s'est fait jeter sans ménagement par sa déesse de blonde, Mila Kunis, qui lui a préféré le plus-beau-plus-fort-plus-riche Ashton Kutcher. Peut-on la blâmer de vouloir passer à autre chose? Non. Mais depuis, on voit fréquemment Mac dans les tabloïds, maigre à faire peur et affichant un air hagard qui ne ment pas sur son état d'esprit. Bon, Mac. Je veux bien comprendre que se faire sacrer là par la femme la plus sexy du monde est un choc, mais il est grand-temps d'en revenir. Bref, comme m'a dit ma mère le jour où j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps en me faisant larguer par cet obscur hockeyeur russe que j'ai fréquenté pendant deux ans sans comprendre un mot de ce qu'il pouvait bien raconter: «Prends su' toé!»
Johnny Depp et Amber Heard ont fait leur coming-out. ENFIN! Vous direz ce que vous voudrez de ma vertu, mais je les trouve adorables. Le beau ténébreux et la blonde sulfureuse, c'est un classique, non? Et puis, Johnny avait fait le tour de la question avec Vanessa. D'ailleurs, je n'ai jamais vraiment compris ce qu'il trouvait à cette femme-enfant-susurreuse-de-chansons-obscures. Sans doute l'accent français... Amber, c'est de la dynamite! Ces deux-là ont tout ce qu'il faut pour s'entendre comme larrons en foire. C'est moi qui vous le dis...
J'ai toujours pensé que Drew Barrymore était une star d'exception. À l'âge tendre où d'autres ne comprennent toujours pas que Ken devrait frencher Barbie, cette enfant vedette s'éclatait au Studio 54 avec les grands du showbiz. Elle a tout fait avant l'heure. Alcolo à 12 ans, toxico à 13, elle a filé en désintox et s'est émancipée de ses parents irresponsables pour débuter sa vie d'adulte... à 15 ans. Vous pensez que Demi Moore a changé le monde en se foutant à poil sur la couverture du Vanity Fair? J'ai des petites nouvelles pour vous. En juillet 1992, la rebelle Drew posait nue dans l'herbe pour le magazine Interview, en compagnie de son petit copain de l'époque. Rien de moins. Aujourd'hui âgée de 38 ans, la belle dégage une sérénité qui fait plaisir à voir dans cet océan de faux-semblants qu'est Hollywood. Et lire, dans mon Star système adoré, que Drew accepte son corps post-grossesse avec grâce et ne doute pas un instant de retrouver du travail en dépit de son petit-mou-de-ventre, ça me réjouit! Éternelle avant-gardiste, la belle serait-elle en train de ramener l'équilibre mental à la mode? Croisons-nous les doigts...
Autre enfant-star chéri des Américains, Macaulay Culkin fait peine à voir par les temps qui courent. Le petit garçon adorable de Home Alone a bel et bien pris le bord! Une descente aux enfers qui a débuté quand le pauvre s'est fait jeter sans ménagement par sa déesse de blonde, Mila Kunis, qui lui a préféré le plus-beau-plus-fort-plus-riche Ashton Kutcher. Peut-on la blâmer de vouloir passer à autre chose? Non. Mais depuis, on voit fréquemment Mac dans les tabloïds, maigre à faire peur et affichant un air hagard qui ne ment pas sur son état d'esprit. Bon, Mac. Je veux bien comprendre que se faire sacrer là par la femme la plus sexy du monde est un choc, mais il est grand-temps d'en revenir. Bref, comme m'a dit ma mère le jour où j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps en me faisant larguer par cet obscur hockeyeur russe que j'ai fréquenté pendant deux ans sans comprendre un mot de ce qu'il pouvait bien raconter: «Prends su' toé!»
Johnny Depp et Amber Heard ont fait leur coming-out. ENFIN! Vous direz ce que vous voudrez de ma vertu, mais je les trouve adorables. Le beau ténébreux et la blonde sulfureuse, c'est un classique, non? Et puis, Johnny avait fait le tour de la question avec Vanessa. D'ailleurs, je n'ai jamais vraiment compris ce qu'il trouvait à cette femme-enfant-susurreuse-de-chansons-obscures. Sans doute l'accent français... Amber, c'est de la dynamite! Ces deux-là ont tout ce qu'il faut pour s'entendre comme larrons en foire. C'est moi qui vous le dis...