
J’ai dû prendre une bonne douche froide en revenant de ma soirée au Métropolis, où j’étais allée voir la dynamique M.I.A. Non pas à cause de la canicule, mais bien parce que sa performance était hot, hot, hot!
Le concert était de courte durée (ou est-ce plutôt moi qui était insatiable?), mais tout en intensité. En effet, si je me suis pâmée sur les danseurs de Bruno Mars il y a quelques semaines, c’est parce que je n’avais pas encore vu ceux de la rappeuse, qui étaient absolument déchaînés! Et que dire de M.I.A., qui ne tenait carrément pas en place? La performance était à ce point énergisante que même moi, je me suis laissée aller sur le dance floor malgré la chaleur accablante (non, mais... tant qu’à suer, aussi bien le faire sur les rythmes effrénés de M.I.A.!).
Avec son hip-hop entremêlé de plusieurs tonalités empruntées à la musique indienne, la chanteuse irrévérencieuse a un son bien à elle. On reconnaîtrait ses chansons entre 1000, et c’est pour ça que je l’aime autant (je l’aime aussi d’amour depuis qu’elle a réussi à voler la vedette à Madonna lors du Super Bowl de 2012, mais ça... c’est une autre histoire...).
Bref, les 60 minutes de sa performance se sont écoulées beaucoup trop rapidement (j’en aurais pris franchement plus!), mais M.I.A. a tout de même eu le temps d’entonner ses plus grands succès, dont Paper Plane et Bad Girls, qui ont clos le spectacle de façon magistrale.
Une autre soirée mémorable!
Le concert était de courte durée (ou est-ce plutôt moi qui était insatiable?), mais tout en intensité. En effet, si je me suis pâmée sur les danseurs de Bruno Mars il y a quelques semaines, c’est parce que je n’avais pas encore vu ceux de la rappeuse, qui étaient absolument déchaînés! Et que dire de M.I.A., qui ne tenait carrément pas en place? La performance était à ce point énergisante que même moi, je me suis laissée aller sur le dance floor malgré la chaleur accablante (non, mais... tant qu’à suer, aussi bien le faire sur les rythmes effrénés de M.I.A.!).
Avec son hip-hop entremêlé de plusieurs tonalités empruntées à la musique indienne, la chanteuse irrévérencieuse a un son bien à elle. On reconnaîtrait ses chansons entre 1000, et c’est pour ça que je l’aime autant (je l’aime aussi d’amour depuis qu’elle a réussi à voler la vedette à Madonna lors du Super Bowl de 2012, mais ça... c’est une autre histoire...).
Bref, les 60 minutes de sa performance se sont écoulées beaucoup trop rapidement (j’en aurais pris franchement plus!), mais M.I.A. a tout de même eu le temps d’entonner ses plus grands succès, dont Paper Plane et Bad Girls, qui ont clos le spectacle de façon magistrale.
Une autre soirée mémorable!